Planter des arbres
2024 Douglas Gayeton pour Lexicon of Impacts. Tous droits réservés
Reboisement
Savimbo s'efforce d'être "additionnel" sur le marché du carbone. Cela signifie que nous ne nous contentons pas de mettre fin à la déforestation, mais que nous ajoutons également des forêts.
Cela permet de restaurer les écosystèmes, d'éliminer le carbone de l'atmosphère, d'améliorer la biodiversité, d'assurer la sécurité alimentaire et d'assainir les cours d'eau.
Nous sommes incroyablement fiers d'avoir accompli le dur labeur nécessaire pour rendre nos #ArbresSexy réels, tangibles, quantifiés et accessibles pour nous et les générations à venir.
Tous les détails...
Si vous êtes comme nous, vous savez qu'un arbre est plus qu'une simple plante dans le sol. Il s'agit de tout un écosystème et de l'interaction de l'arbre avec celui-ci.
Entrons donc dans les détails de la manière dont nous reboisons, des pratiques fondées sur des données probantes que nous utilisons et de la manière dont la co-conception autochtone ajoute de la valeur à nos parcelles de reboisement d'une manière que la plupart des projets ne prennent pas en compte.
Nous utilisons l'article de Sacco et al. Dix règles d'or pour le reboisement pour concevoir toutes nos parcelles de reboisement. Ces règles incluent la conservation en premier lieu, les collaborateurs locaux, l'optimisation de la biodiversité, les flux de revenus positifs et les plans de suivi.
Nous plantons au moins cinq espèces indigènes par parcelle, et l'une d'entre elles doit être un arbre alimentaire ou de culture sélectionné par l'agriculteur pour son potentiel de revenus.
Les arbres d'Amazonie peuvent pousser très rapidement et vivre jusqu'à 300 ans. Dans les régions de l'Amazonie où nous travaillons, il suffit de retirer le bétail pour que les arbres atteignent leur hauteur maximale en l'espace de six ans. Nous concevons donc nos plantations d'arbres de manière à favoriser cette repousse, plutôt que de la remplacer. Nous effectuons également des tests A/B sur nos parcelles afin de nous assurer que les arbres que nous plantons ont les meilleures chances de survie.
Nos agriculteurs sont payés pour la plantation initiale, puis à nouveau après 6 mois et 1 an, sur la base de validateurs indépendants qui comptent les arbres. Nous payons des femmes locales pour qu'elles collectent des graines dans la jungle indigène et fournissent des semis à partir de leur domicile, ce qui leur procure une source de revenus indépendante tout en leur permettant de s'occuper de leurs jeunes enfants.
Nous sensibilisons nos agriculteurs à l'effet bénéfique des singes et des oiseaux qui mangent les fruits et répandent les graines. En payant un supplément pour les espèces animales observées sur les parcelles reboisées, nous encourageons la biodiversité et rétablissons des cycles de vie bénéfiques.